Excuse my french

vendredi 17 septembre 2010

RESULTATS SONDAGE : en passant par la Lorraine sans trouver ça beau...

Nouveau et intéressant : le plan de la zone commerciale imprimée sur un T-shirt.

Comme on disait dans les mairies d'avant guerre, à une époque où l'abus d'absinthe facilitait les hallucinations : les urnes ont parlé. C'est le pauvre maillot de Nancy qui a été désigné comme le plus moche de ligue 1 avec 44% des suffrages exprimés. Sa saturation en réclames (qui rend la recherche du blason du club digne d'un jeu concours richement doté) n'y est sans doute pas pour rien. Suivent à égalité (27%) les valeureuses atrocités synthétiques du RC Lens (avec son maillot tout juste bon à bruler dans les poëles à bois de leur sponsor) et Auxerre (dont la tenue rend sans doute hommage aux années 80 albanaises). Jouent ensuite des coudes sur la troisième marche du podium (22%), Toulouse (et son maillot au design migraineux) et Brest (dont le principal péché est le côté tristounet). A noter que Bordeaux, Marseille, Monaco et Rennes ont échappé à toute mise à l'index. Et que ceux qui ont dénoncé l'uniforme du PSG l'ont sans doute fait pour des raisons sottement épidermiques, étant donné l'indifférente sobriété de celui-ci.
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(PS : l'illustration gentiment parodique de ce post est emprunté à Lizarazu69, un plaisantin du forum football-community)

lundi 13 septembre 2010

DANS LE ROUGE : Silvio Berlusconi

"Le problème, c'est que le Milan AC tombe souvent sur des arbitres de gauche"

Après la défaite surprise en championnat des rossoneri contre le modeste Cesena (0 à 2), l'ineffable président du conseil italien refuse d'admettre que son équipe souffre surtout d'être mal à droite.

mercredi 8 septembre 2010

SONDAGE : élisez le maillot le plus moche de Ligue 1 !

Wanted : tous ces maillots sont recherchés pour attentat à l'esthétique.
Bon, c'est bien gentil de grimper aux rideaux parce que l'équipe de France a enfin gagné un match contre une sélection du niveau Ligue 2. Mais le pain quotidien, les céréales qui croustillent dans le bol du matin, à la base, c'est le championnat. Alors intéressons nous à un sujet qui nous titille depuis l'enfance : les maillots. En l'occurrence, il y a de quoi tousser. Et ce n'est pas une allergie à l'acrylique. Tandis que les grands clubs étrangers rivalisent de maillot classieux à sponsor unique (Real, Milan, Arsenal, Bayern...), nos pauvres clubs de Ligue 1 affichent, à quelques exceptions près, des tuniques dessinées par des stylistes albinos recalés de chez Delaveine et bardées de pub qui les font ressembler aux anciens rideaux des cinéma de province. Pire les voilà en proie à la mafia du poker et des paris en ligne... Après l'injure à l'esthétique, l'affront à la morale. Rendez-nous Justin Bridou, Tourtel et Peaudouce !
On se consolera en constatant que l'avilissante pub sur l'arrière du short (qui marque d'infamie le prolétariat des équipes espagnole, notamment)  n'est pas encore arrivée en France. Gageons que l'époustouflant Frédéric Thiriez collera bientôt des réclames Pitch sur le popotin de nos bourrins. Dans l'intervalle, on se consolera de cette laideur triomphante en élisant le maillot le plus atroce de l'année. Dans la colonne de droite, vous pouvez choisir trois clubs. Alors n'hésitez pas entre la rage, peste et le choléra. Votez pour les trois.

CHOSE LUE : Ca se passait comme ça chez les Bleus...

Steve Savidan : "Pour cent briques, tu peux même pas t'acheter les pompes à Gallas"
S'il y a un joueur dont le profil trop rare se rapprochait bien du François Perrin de Coup de tête, c'est le regretté Steve Savidan. Une grande gueule capable de foutre sur celle d'un entraineur lui ayant reproché une "sieste crapuleuse" (!) durant une mise au vert de son club (Chateauroux en 1999). Ce fêtard notoire, tenancier d'un bar à la mode tandis qu'il était encore l'avant-centre de Valenciennes, a du renoncer au foot professionnel en 2009, suite à un examen médical ayant révélé une anomalie cardiaque. Dommage pour un gars qui touchait enfin les dividendes d'une éclosion tardive en signant un beau contrat à l'AS Monaco. Et qui avait connu quelques mois auparavant le privilège d'une première sélection (réussie) en équipe de France. C'est précisément le récit de cette expérience - en novembre 2008 - qui nous a fait glousser d'aise dans l'entretien que L'Equipe Magazine a publié le 4 septembre. Et qui fait mesurer l'ampleur de la "révolution culturelle" que doit maintenant enclencher Laurent Blanc. Extrait :
Stéfan L'Hermitte : Vous avez passé quatre jours en équipe de France. Il y a des choses qui vous ont fait halluciner ?
Steve Savidan : Quatre jours c'est du survol. Mais oui, parfois je me disais : "Mais de quoi ils parlent ?". Ca m'interpellait. L'Equipe était interdite mais un joueur se la faisait livrer quand même. Ils avaient tous des nannys pour s'occuper de leurs enfants. Et ils parlent de thunes tout le temps. Y avait un concours de tirs aux buts à la fin de chaque séance d'entrainement. L'enjeu c'était 1000 euros ! Je sais qu'à Lille, ils le faisaient aussi. Mais eux, ils jouaient des tickets de Millionnaire...".
De quoi choquer un joueur qui gagnait 450 euros par mois en 1998 et travaillait comme éboueur l'été pour survivre. Plus haut, le jeune retraité - très actif puisqu'il a ouvert un restaurant dans une église désaffectée à Angers - répond à l'inévitable question : "Et vous, dans le bus vous auriez fait quoi ?". La réponse n'est pas taillée dans du balsa.
"C'est toujours facile de le dire (...) mais je pense vraiment que je serais descendu. L'excuse qui consiste à dire "Une équipe ça reste soudée", ça va pas. Je pousse le raisonnement très loin mais il y a des gens qui se sont levés, qui ont osé dire non à des dictatures par exemple, qui sont morts pour ça même, qui ont eu ce courage. Alors quelqu'un pouvait bien l'avoir pour du foot ! Ils n'ont pas pensé aux gens, au sport. Il y a eu un côté suicidaire collectif qui se rapproche de la secte (...)."
Petit rappel : dans Coup de tête, le bus des joueurs finit dans un ravin provoquant le rappel de Perrin. Si seulement...

samedi 4 septembre 2010

COUP DE BOULE : quand Jacquet mérite un pain

Aimé contemple le toit du Stade de France. Pour vérifier si Evra, Toulalan et Ribéry sont toujours suspendus ?

La mairie de Verneuil-sur-Avre vient de fourguer une statue de Johnny qui l'encombrait depuis 2008. Et si l'on déboulonnait celle d'Aimé Jacquet dont l'ombre nous pèse depuis 1998 ?  S'en prendre à Aimé Jacquet est devenu aussi sacrilège que pisser  sur la flamme du soldat inconnu. Aimé est ce héros au sourire si doux et  qui nous a assis sur le toit du Monde un beau soir de juillet au siècle dernier. Un exploit insensé et toujours un peu irréel quand on pense que nos avant centres s'appelaient alors Stéphane Guivarc'h et Christophe "nanananaire" Dugarry. Eusse été Maïté que cela n'aurait rien changé. Les Bleus devaient gagner. C'était écrit sur le Grand Rouleau d'Aimé Jacquet, sinon dans L'Equipe. Donc, Aimé de France trône désormais dans le panthéon des héros français quelque part entre le Général de Gaulle, l'Abbé Pierre et le Capitaine Dreyfuss.
Avant la barbiche, le book
Les écolier de France apprendront bientôt qu'il est né à Sail-sous-Couzan (Loire), le 27 novembre 1941, qu'il a été un valeureux footballeur ouvrier (fraiseur le jour, sportif le soir ; comme d'aucunes de nos jour sont - Zone interdite nous l'a raconté - étudiantes le jour et prostituées la nuit) avant de se tourner vers la carrière d'entraîneur avec des bonheurs divers. Jusqu'à cette apothéose en forme de revanche de la Coupe du Monde 1998. Depuis lors, le grand homme exploite sa notoriété, tel Buffalo Bill écumant les cirques européens après avoir massacré le dernier bison ricain. D'ailleurs , il s'en est fait le look, adoptant une barbichette de bon aloi.Non content de toucher le jack pot avec le récit de sa vie de saint  (Ma vie pour une étoile, vendu à 300 000 exemplaires), Mémé se loue pour des conférences. Contre 17 000 euros; il y révèle sa recette du succès à des Jean-Claudes de la Cogip. Mais il y a aussi Mémé le consultant tél (60 000 euros par mois sur Canal + pour la durée de la Ligue des champions), Mémé la bête de pub (des spots d'anthologie pour les cafétérias Casino, un contrat forcément très juteux avec Betclic) ; le tout légitimé par Mémé la pièce jaune, son activité de curé laïc sous les auspices de Dédette Chirac.

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Reste que ce n'est pas pour ce merchandising aussi tardif que frénétique que l'on cherchera des poux dans la tignasse étonnamment drue de l'homme du 12 juillet. Qu'un membre de sa génération de footballeurs cocus de l'histoire s'incruste au banquet des jeunes milliardaires surpayés est plutôt sympathique. Non, c'est durant la Coupe du Monde que Tonton Mémé nous a fait tousser. Lorsqu'Anelka insulte Domenech, quand la 7ème compagnie du capitaine Evra se met en grève, les caméras du Canal Football club révèlent un Aimé au bord du "nervousse" breakdown. Va-t-il dénoncer la muflerie d'un joueur qui insulte l'entraîneur qui l'a soutenu contre vents et marées ? Déplorera-t-il le piètre exemple donné aux jeunes ? Que nenni. Certes Jacquet fustige le manque de conviction et d'esprit d'équipe des Bleus. Mais ce qui le navre surtout  - comme d'autres, à sa décharge - c'est le non respect de l'omerta : on a violé le "sanctuaire du vestiaire". Ce lieu qu'il avait ouvert aux Yeux dans les Bleus ; même si c'était en rouspétant. Hasard ou coïncidence, c'est L'Equipe - ce journal qu'il poursuit d'une haine si tenace qu'elle ferait passer Edmond Dantès pour un mollasson amnésique - qui a osé écouter aux portes.

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De retour en France, on s'attend à ce que le même batte sa coulpe, avoue qu'il a eu tort de peser de tout son poids pour le suicidaire maintien de l'imposteur Domenech et encourage une révolution à la FFF. On rêve. Jacquet avalise la main mise des calamiteux médiocrates de la Direction techniques nationales sur le foot français. Pire, le voilà qui - compromettant le pauvre Michel Hidalgo -critique les dérisoires sanctions finalement prises contre les meneurs de Knysna. Qu'on se le dise Frank Ribéry, notamment, est un mec bien. "Franck Ribéry, je ne le connais pas mais je l'ai croisé il y a pas longtemps. Il m'a spontanément salué, ça m'a fait plaisir". Imparable. Mémé a-t-il  conté fleurette à Zahia dans une cafétéria Casino ? Mystère. En tout cas, l'affaire ne le choque pas. "Je suis déçu que sa privée soit jetée aux chiens ; surtout dans notre milieu". 
Aux chiens. Comme Bérégovoy. Ben voyons.
Aimé le conférencier : "à la Sematec, faut que vous muscliez votre jeu, les gars. Sinon, ceux de la Cofrinco, je vous préviens, ils vont vous marcher dessus"
L'ancien fraiseur n'aurait-il pas pu en profiter un tout petit peu pour dénoncer à travers lui l'effarante dérive des stars du foot moderne, de plus en plus hermétique à la morale, la politesse, l'éducation ? Non, il préfère se taire un tout petit peu. J'en croque donc je suis. Complice. Forcément complice. Un tout petit peu.
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(PS : ami, lecteur, un horripilant tic verbal d'Aimé le consultant de luxe par mois s'est glissé dans ce dernier paragraphe. Sauras-tu un tout petit peu le retrouver ?)

Puits sans fond

Des filles et des garçons prépubères : la seule équipe à laquelle nos Bleus sont encore capables de faire mettre un genou à terre.
La France a donc perdu contre la 79ème nation mondiale, le redoutable Belarus. Et la qualification pour un Euro auquel seize nations (!) seront conviées parait déjà problématique. C'est dire à quel niveau notre pauvre football est tombé. Il fallait être bien naïf pour croire que tout allait redémarrer par la grâce de Laurent Blanc. Il y a quelque chose de pourri au royaume de la FFF. Et le pire c'est qu'on en vient à se désintéresser totalement du triste destin de notre sélection. La seule chose qui nous ennuie c'est que, levant un sourcil fourni vers la télé, au milieu d'un tournoi de poker, le gredin Domenech a du ricaner. Son lâche complice de la Direction technique nationale, Gérard Houiller, lui, pense déjà à émigrer (Aston Villa) des fois qu'un inconscient lui demande des comptes. Qu'on se rassure, cela n'arrivera pas. Quelle misère...

mercredi 1 septembre 2010

Cendrillon est une...

Diakhaté : "Comment je compte déjà me barrer de ce club de losers ? 
Par l'ascenseur, derrière à gauche..."
Les douze coups de minuit ont donc sonné : le marché des transferts laissait jusqu'à hier soir aux clubs français pour trouver chaussure à leur pied. Quand on sait que la pointure moyenne avoisine le 43, pas facile de trouver la perle rare. Surtout quand on possède à peine le budget pour s'offrir le bas de gamme de chez Décathlon. En solde. Mais certains carrosses en passe de se révéler citrouilles se sont donc agités in extremis. On pense notamment à l'OM, l'OL et au PSG.
Pour Lyon, cette fébrilité est plutôt nouvelle et ses abdominaux quasi intacts de grand club lui ont permis de donner un efficace coup de rein : s'attirer Gourcuff, c'est mieux que piocher la carte "Prioritaire" au 1000 bornes ! Dans le cas de l'OM, on verra à l'usage si Loïc Rémy et André-Pierre Gignac valent mieux que leur statut actuel Celui de cadors d'un championnat que des schémas tactiques ultra-défensifs font sombrer  année après année dans l'ennui surmédiatisé. Quant à Paris... Cela fait longtemps que le club de la capitale n'est même plus en état de prétendre au statut de "belle citrouille". Au rayon cucurbitacée, ce serait plutôt une courge montée sur quatre pneus réchappés...
Imparable logique

"Yes man, c'est nous qu'on a été élus pire charnière de l'année"
La façon dont le club de la capitale a négocié  la dernière ligne droite du mercato dans la confusion la plus totale en dit long sur son triste état. Dans un pressant besoin d'un défenseur central de qualité pour parer aux errements de sa charnière aux deux gonds défectueux (Sakho, Camara), le PSG a logiquement recruté in extremis... un défenseur latéral. Le brave Tiéné va donc venir faire le surnombre dans un secteur déjà fourni (Armand, Ceara, Jallet, Makonda...) tandis que la porte centrale branle encore. Imparable logique.
A cet égard le cas, Diakhaté se révèle édifiant. Longtemps pressenti à Paris, le libero Sénégalais a finalement choisi de rejoindre Lyon. Il s'est dit lassé des tergiversations parisiennes et séduit - ce qui se conçoit - par le défi sportif supérieur. En coulisse, les dessous du prêt avec option d'achat de ce garçon (passé en moins de 3 ans par Nancy, Kiev, St-Etienne, re-Kiev puis enfin Lyon avant un éventuel retour en Ukraine puis une disparition fatale aux Emirats) laissent pantois. Le Dynamo n'a accepté de laisser partir son joueur qu'à la condition expresse... qu'il prolonge son contrat d'un an.

Boulet chasseur

Une nouvelle preuve que les engagements signés par les footballeurs ne signifient plus rien. En 40 ans, on est passé d'un CDI qui cadenassaient les joueurs dans leur club - et les laissaient à la merci de patron négriers - à des CDD qui ne veulent plus rien dire. Sinon que chaque année de contrat représente un actif qui se monnayera le jour où un joueur trouvera un nouveau club "mieux disant" financièrement. Sinon sportivement. Pour tordre le coup à l'image du "footballeur mercenaire", ce système décadent "fonctionne" aussi dans l'autre sens : un club qui veut se détacher d'un boulet doit sortir le carnet de chèque pour l'indemniser des années d'engagement qu'il lui doit. Car si les footballeurs se comportent mal, c'est aussi à cause de présidents, de directeurs sportifs et d'entraîneurs qui font n'importe quoi ; signant des contrats interminables et ruineux à des gars dont ils cherchent à se débarrasser quelques mois plus tard (1). Avant de les supplier de rester quand les gêneurs ont finalement trouvé preneur mais qu'eux même accusent soudain un brûlant problème d'effectif.

"OK, j'ai dit que je voulais partir mais je m'essuie la bouche"
Marseille  a ainsi vu partir Mamadou Niang- parti relever un "challenge sportif" en Turquie ; on ne rit pas -  et surtout Hatem Ben Arfa, remonté comme une Swatch atomique. En revanche, le club phocéen peut s'estimer heureux d'avoir retenu Brandao. Indésirable il y a encore quelques jours, le Brésilien avait trouvé une porte de sortie trois étoiles : le club russe de Rubin Kazan lui offrait un salaire doublé, plus un million d'euros en prime à la signature. A 30 ans, voilà, comme dirait Jean-Pierre Bernès (à moins que ce ne soit Don Corleone ; ce qui revient au même) une offre qui ne se refuse pas. Sauf que le gentil géant n'est pas du genre à mettre à sac le bureau de son président pour lui faire entendre raison. Ni à envoyer les "amis" yougos de son agent tester la solidité de ses rotules à coup de barre à mine. Le voilà donc qui renonce à son exotique jackpot et jure aux fans de l'OM de se battre comme avant. Ce qu'il fit de façon épatante dés la match suivant à Bordeaux, s'attirant les louanges de L'Equipe qui salua "un vrai pro" (sic)

Un populaire tapin 
Un peu comme si on louait la fidélité d'un homme marié, ayant résisté au chant d'une sirène à tous points de vue mieux dotée ! Vrai, il n'y a que ces indécrottables couillons de supporters pour croire encore à l'attachement des joueurs à leurs couleurs. La larme à l'oeil quand ces derniers embrassent l'écusson du club après un but (ce qui est méritoire ; vu que celui-ci est de plus en plus noyés dans des patchs publicitaires, trahissant la misère économique des équipes françaises), ils font penser à cette figure célèbre des romans à l'eau de rose : le gars qui tombe amoureux d'une prostituée, croyant pouvoir s'attacher son amour éternel alors que son "affection" est strictement éphémère et tarifée. Et nos Cendrillons de mardi soir ne dérogent pas à la règle. Car le le foot n'est décidément qu'un populaire tapin. Point.
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(1) Jerôme Rothen n'est-il pas ainsi payé près de 200 000 euros par mois à ne rien faire ?!!