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Rire et chansons, le magazine. |
William Gallas ou l'homme qui réussirait l'exploit de rendre Anelka sympathique. Voir de détourner les (justes) flèches visant la pomme de Domenech... Convoqué devant le conseil de guerre... pardon la commission d'enquête de la FFF... pour participer au concours de mensonges lancé par France Soir et Le Grand Journal, l'ex libéro des Bleus - appuyé par Cruchot Evra - ne s'est donc pas gêné pour envoyer la patate chaude vers Raymond. Ecoeurant ? Oui. Etonnant ? Non. Une telle lâcheté n'étonne pas de la part d'un des joueurs les plus remarquablement antipathiques à avoir porté le maillot bleu depuis vingt ans. Gallas est le prototype du bon joueur parvenu qui à pété un plomb à force d'être trop porté aux nues. Gallas c'est la prétention de Desailly sans son humour et - surtout - son intelligence. A ce propos, on s'étonnera que Arsène Wenger - si regardant sur l'état d'esprit de ses recrues - ait pu embaucher ce fat en short qui est parvenu à faire décamper d'Arsenal le brave Kolo Touré. Vrai, comment Les Inrocks - sans doute trop heureux de leur "scoop" - ont-ils pu titrer l'interview de ce triste sire
"Le premier qui dit la vérité" ? La vérité de Gallas, c'est sans doute le dernier geste technique qu'il aura réussi en bleu : un doigt d'honneur à David Astorga. Misérable...
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